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DU CIEL VIENT LA LUMIERE


d'après les réponses
de Max Valentin
sur le Serveur Minitel
3615 MAXVAL


Les visuels ont comme dimensions 14 cm par 17,9 cm.

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DU CIEL VIENT LA LUMIERE

C'E-10752-365 LA Q-30667-E L'AIGLE
I-687-90677-RI-687-A LA
687-ARQ-30667-E DE 10752-E-10752 10752-ERRE-10752
DA-60140-10752 LE 10752-ABLE,
CENT 4330-O-30667-R-10752 AVA-60140-365 DE 10752-E
CA-10752-10752-ER LE BEC
E-365 Y LAI-10752-10752-ER 10752-E-10752
90677-L-30667-687-E-10752.

Alors prête un arc à Apollon :
de là, il comptera 1969,697 mesures vers le zénith.
En une 46.241.860ème fraction de jour sidéral,
son trait s'abattra.

Hâte-toi de trouver la flèche.


"MAX A DIT..."

APOLLON RESTE "LA", COMPTE LES MESURES, LEVE SON ARC VERS LE CIEL ET DECOCHE SA FLECHE.
IL NE TIRE PAS D'UNE HAUTEUR DE 1969,697 MESURES.
C'EST BIEN APOLLON QUI COMPTE. C'EST IMPORTANT.
APOLLON EST UN MONSIEUR QUI AIME L'EXACTITUDE. IL DESIRE DONC DEPOSER SON TRAIT AVEC UNE GRANDE PRECISION. AUSSI, IL COMPTE LES 1969,697 MESURES AVANT DE DECOCHER SA FLECHE.
L'ADVERBE "LA" DANS LA PREMIERE ET LA DIXIEME LIGNE DU TEXTE CONCERNE UN SEUL ET MEME LIEU (Fig-Mag).
"Y" NE CONCERNE PAS CE LIEU.
IL N'Y A QU'UNE SEULE FLECHE A L'ENDROIT OU IL "FAUT SE HATER DE LA TROUVER" (Fig-Mag).
DANS LA 420, "TRAIT" ET "FLECHE" SONT SYNONYMES (Fig-Mag).

IL S'AGIT LA D'UN PROBLEME DE BALISTIQUE, CONNU DES ARCHERS COMME DES ARTILLEURS ! LA FLECHE SE DEPLACE DE MANIERE RECTILIGNE, SANS ZIGZAG (09/04/96).
MAIS IL N'EST PAS QUESTION D'EFFECTUER DES CALCULS BALISTIQUES (26/06/97).
LE TRAJET DE LA FLECHE EST RECTILIGNE TRACÉ "A PLAT" SUR LA CARTE.
LES EVENTUELLES MONTAGNES SUR LE TRAJET DE LA FLECHE SONT A IGNORER.
LA FLECHE D'APOLLON A UNE CERTAINE LONGUEUR, INFERIEURE AU TRAJET QU'ELLE EFFECTUE (26/02/99).

OUI, IL S'AGIT DE TROUVER LE POINT DE CHUTE DE LA FLECHE... (04/04/96)
LA FLECHE D'APOLLON VISE QUELQUE CHOSE DE CONCRET, DE MATERIEL. ELLE NE VISE PAS LE COEUR.
LE FAIT DE COMPTER SES MESURES VERS LE ZENITH EST UTILE POUR QUE SON TRAIT PUISSE S'ABATTRE AU BON ENDROIT. A CET ENDROIT, ON NE TROUVERA QU'UNE FLECHE.
LE MOT "ZENITH" N'A QU'UNE SEULE ACCEPTION DANS LE JEU (Fig-Mag).
PRENEZ L'ACCEPTION HABITUELLE DE CE MOT (26/06/97).
JE NE PEUX PAS PARLER D'"ALTITUDE" AU SENS OÙ VOUS L'ENTENDEZ. IL S'AGIT DE 1969,697 MESURES VERS LE ZENITH.
POUR RESUMER, ON PEUT DIRE QUE LA FLECHE D'APOLLON PART D'UN POINT "A" POUR S'ABATTRE EN UN POINT "B" ET QUE, DANS CE CAS, LA FLECHE A UNE CERTAINE LONGUEUR "AC" TELLE QUE AC EST INFERIEURE A AB (24/02/99).
CE QUI EST IMPORTANT, C'EST DE COMPTER LES MESURES, PAS VRAIMENT LA CHOSE PAR RAPPORT A LAQUELLE ON LES COMPTE.
LA FLECHE EST BIEN SUR UNE IMAGE. QU'ELLE SOIT OU NON PARFAITEMENT HORIZONTALE DEPEND DE L'ENDROIT VISE : S'IL EST FACE A VOUS, ELLE RESTE HORIZONTALE, S'IL EST EN HAUTEUR, C'EST DIFFERENT... A VOUS D'EN TIRER LES BONNES CONCLUSIONS.

LA POSITION DE L'ENSEMBLE COMPAS ET LETTRE "N" DANS LE VISUEL A UNE IMPORTANCE.
LE "N" DANS LEQUEL LE COMPAS EST PLANTE N'A QU'UNE SEULE SIGNIFICATION (13/01/96).
LE "N" DANS LES 2 VISUELS - 780 ET 420 - NE REPRESENTENT PAS LA MEME CHOSE (07/11/97).
LA MESURE DOIT ETRE CONNUE AVANT D'ATTAQUER CETTE ENIGME (Fig-Mag).
LE FAIT QUE LE "N" ET LE "T" DE "CENT" N’AIENT PAS ETE CODES N’ETAIT QU’UN SIMPLE PETIT COUP DE POUCE.

IL S'AGIT BIEN DE LA FRACTION DE JOUR SIDERAL TERRIEN.

LE VISUEL NE REPRESENTE PAS UNE SORTE D'ECLIPSE (28/06/97).

LORSQUE VOUS PRETEZ L'ARC A APOLLON, LE FAIT QU'IL VOUS LE RENDE N'A PAS VRAIMENT D'IMPORTANCE. METTONS QU'IL LE GARDE...

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Hypothèses de travail

Les nombres apparaissant dans le texte de l'énigme sont les nombres de jours nécessaires à chaque planète pour effectuer sa révolution autour du soleil. Là aussi, les chiffres datent un peu et proviennent probablement de l'Encyclopédie Bordas (Astronomie) de 1968 (rééditée en 1981).

Terre................365
Mars................687
Jupiter...........4330
Saturne........10752
Uranus.........30667
Neptune.......60140
Pluton..........90677

En remplaçant ces nombres par l'initiale de la planète à laquelle ils correspondent, on obtient :

C'EST LA QUE L'AIGLE IMPRIMA LA MARQUE DE SES SERRES DANS LE SABLE,
CENT JOURS AVANT DE SE CASSER LE BEC ET Y LAISSER SES PLUMES.

Viennent immédiatement à l'esprit les Cent Jours de Napoléon qui, revenu de l'Ile d'Elbe, débarqua à Golfe-Juan.

L'une des indications supplémentaires semble d'ailleurs confirmer cette hypothèse :

VENU DE L'ILE D'ELBE, IL Y DEBARQUA.

Mais il convient de bien saisir ce que sont les Cent Jours du point de vue historique :

Ainsi les Cent Jours ont-ils réellement débuté lorsque Napoléon est arrivé aux Tuileries, à Paris, le 20 mars 1815.
Notons pour le fun qu'à la "moulinette" du code "ALMISEFORU", le mot PLUME devient PARIS !

Reprenons ce que dit l'article de Wikipedia relatif aux Cent-Jours :
au matin du 20 mars 1815, "en route pour Melun où il croit trouver l'armée du duc de Berry [et] voyant ses troupes échelonnées sans officiers, Napoléon décide de rentrer à Fontainebleau et bifurque sur Moret-sur-Loing. Sans tambour ni trompette, l'Empereur débarque et demande à se reposer quelques instants. On lui envoie des courriers tous les quarts d'heure. Napoléon est toujours inquiet croyant Louis XVIII à Paris et redoutant un soulèvement populaire. Arrivé à Fontainebleau, la ville dort mais le château est illuminé. Entrée dans la cour du Cheval Blanc, la cour des Adieux du 20 avril.

"Le 20 mars, le général Haxo qui pense rejoindre Louis XVIII, trouve les Tuileries quasiment désertes. Lavalette à 7 heures a pris la direction de la Poste et prévient les maîtres de postes que l'Empereur sera là avant deux heures et de ne plus fournir de chevaux sans autorisation. Lavalette interrompt la publication du Moniteur universel. Aux Tuileries, le ministre des Finances a oublié 50 millions dans les coffres. Le chancelier Pasquier interroge Cambacéres.

"À Fontainebleau, les troupes arrivent sans cesse. Les Elbois montés par coche d'eau arrivent par Montereau-Fault-Yonne.

"À Paris, les généraux Exelmans et Sébastiani ont pris les choses en mains. Le drapeau tricolore flotte aux Tuileries à 2h 20, dôme de l'Horloge, aux Invalides à 2h 30. À 2 h 45, au lycée Louis-le-Grand, Sadi Carnot par la fenêtre voit le drapeau hissé au sommet de la colonne Vendôme.

"Dans l'après-midi, à la suite d'Exelmans, les dignitaires impériaux sont réapparus, avec Hortense qui porte les habits du deuil de sa mère, l’impératrice Joséphine. Napoléon entre dans Paris."


La Cour des Adieux, à Fontainebleau


Les Armoiries de Fontainebleau

Napoléon III, par un décret du 25 juin 1864 donné au palais de Saint-Cloud, le 20 août de la même année, a concédé à la Ville de Fontainebleau les armoiries suivantes dont elle était autorisée de faire usage telles qu’elles étaient figurées et coloriées selon la description blasonnée suivante :
Au premier, d’or, à l’aigle de sable.
Au deuxième, d’argent, à la salamandre enflammée de gueules.
Sur le tout, à la face d’azur, chargée d’une rivière ondée, d’argent , franc quartier à dexte, d’azur à l’N d’or surmontée d’une étoile rayonnante.
L’écusson est sommé d’une couronne murale à cinq créneaux d’argent pour cimier, portant sur son bandeau un double F d’or.
Le bandeau est traversé d’un caducée contourné d’argent, auquel est suspendu deux guirlandes. L’une est à dextre, d’olivier, l’autre à senestre, de chêne aussi d’argent, nouées et attachées par des bandelettes d’azur.

Cette description minutieuse présente certains intérêts, car on y constate que les héraldistes du Second Empire ont conservé certains détails des armoiries royales, notamment la salamandre et la « double F » qui, en faite, présente ici une forme curieuse, celle d’une croix en T.
Il est à signaler que ces armoiries situent symboliquement Fontainebleau sous l’influence astrologique de Saturne dans le signe zodiacal du Verseau.
Faut-il rappeler que dans la mythologie, le Verseau se rapporte à la fable du Déluge et que, symboliquement, Saturne était nommé l’ « Ancien des Jours » ?


Le trait d'Apollon, lui, s'abattra en une 46 241 860 ème fraction de jour sidéral. Or, la durée de notre jour sidéral est de

23 h 56 min 4,09 s soit 86164 secondes

Si le trait d'Apollon est, comme on le suppose, un trait lumineux dont la vitesse est d'environ
300 000 kilomètres par seconde, ce trait aura parcouru :

86164 x 300 000 / 46 241 860 = 559 km

Or, à 559 km de Golfe-Juan (!) on retombe sur Dabo, ce qui ne déplaît pas aux "daboïstes" !

Mais revenons à la flèche d'Apollon. On peut penser que si l'on devait raisonner comme des "artilleurs", il faudrait qu'Apollon effectue son tir à 45° de l'horizontale afin que son projectile s'élève puis retombe comme il se doit le plus loin possible.
Même dans ce cas, le débat subsiste ! Certains défendent la thèse que la flèche s'élève en ligne droite jusqu'à mi-parcours pour redescendre toujours en ligne droite vers le point d'impact, comme si à mi-parcours la flèche heurtait un obstacle. Si l'on utilise les 559 km comme longueur du parcours et 45° comme angle de départ et d'arrivée, la flèche s'élève jusqu'à 197km630. Au sol, la distance entre le point de départ et le point d'arrivée est alors de 395km270.

D'autres préfèrent un parcours en arc de cercle (d'où le prêt d'un arc à Apollon).
Dans ce cas la "corde" de l'arc - c'est-à-dire la distance au sol - est d'environ 503 km et la "flèche" de l'arc d'environ 104 km.

Bien sûr, Max a précisé très clairement qu'aucun calcul balistique n'était à effectuer. Mais peut-on vraiment considérer les calculs décrits ci-dessus comme étant des calculs "balistiques" ? Certainement pas. Il y a un monde entre le calcul de la corde d'un arc de cercle et celui d'une parabole !

Enfin, si la mesure est bien de 33 cm et si celle-ci ne doit pas être "coefficientée", les 1969,697 mesures donnent 650 m.
Cette hauteur (vers le zénith) laisse perplexe et, là aussi, le débat reste ouvert.



QUESTION INCONTOURNABLE

Où le "là" se situe-t-il ?

Ce "là" dont il est question en début et fin d'énigme et à partir duquel Apollon décoche sa flèche se situe-t-il là où se termine l'énigme précédente c'est-à-dire où se trouve la Spirale à quatre centres ?

Que signifie "compter 1969,697 mesures vers le zénith" ?

Il est important que ce soit Apollon qui compte 1969,697 mesure vers le zénith avant de décocher sa flèche car cela garantit la précision avec laquelle sa flèche sera déposée. Il ne tire pas de cette hauteur et l'on ne peut par d'altitude à propos de celle-ci. Que signifie donc dans ce cas "compter 1969,697 mesures vers le zénith" où ce qui est important est le fait de les compter et non la chose par rapport à laquelle on les compte ?

Où le trait d'Apollon s'abat-il ?

Puisqu'il s'agit de trouver le point de chute de la flèche qui vise quelque chose de concret, de matériel (pas le cœur), situé en hauteur, en ignorant les éventuelles montagnes situées sur son trajet rectiligne, tout en respectant les lois de la balistique, où ce point de chute se situe-t-il ?

Quelle est cette flèche que l'on retrouve en fin d'énigme ?

A l'endroit où se sera abattu le trait d'Apollon et où il faudra "se hâter de la trouver", on ne découvrira qu'une flèche. La flèche est une image. Pourquoi est-il nécessaire de préciser que sa longueur est inférieure au trajet qu'elle aura effectué ? Qu'est cette flèche qui restera parfaitement horizontale si l'endroit visé est en face de soit et qui ne sera plus parfaitement horizontale si cet endroit est en hauteur ?

Retrouvez les 25 Questions incontournables

LA LUMIÈRE RÉVÈLE L'OMBRE,
COMME LA VÉRITÉ LES CHOSES CACHÉES.
EN REGARDANT L'HEURE QU'IL EST
PENSE À LA MORT ET TIENS-TOI PRÊT
NE COMPTE PAS SUR LA PREMIÈRE
CAR TOUT DÉPEND DE LA DERNIÈRE


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B
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12e
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