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DU CIEL VIENT LA LUMIERE |
d'après les réponses de Max Valentin sur le Serveur Minitel 3615 MAXVAL |
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420 DU CIEL VIENT LA LUMIERE
C'E-10752-365 LA Q-30667-E L'AIGLE
Alors prête un arc à Apollon :
Hâte-toi de trouver la flèche.
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"MAX A DIT..."
APOLLON RESTE "LA", COMPTE LES MESURES, LEVE SON ARC VERS LE CIEL ET
DECOCHE SA FLECHE.
IL S'AGIT LA D'UN PROBLEME DE BALISTIQUE, CONNU DES ARCHERS COMME DES
ARTILLEURS ! LA FLECHE SE DEPLACE DE MANIERE RECTILIGNE, SANS ZIGZAG (09/04/96).
OUI, IL S'AGIT DE TROUVER LE POINT DE CHUTE DE LA FLECHE... (04/04/96)
LA POSITION DE L'ENSEMBLE COMPAS ET LETTRE "N" DANS LE VISUEL A UNE
IMPORTANCE.
IL S'AGIT BIEN DE LA FRACTION DE JOUR SIDERAL TERRIEN.
LE VISUEL NE REPRESENTE PAS UNE SORTE D'ECLIPSE (28/06/97).
LORSQUE VOUS PRETEZ L'ARC A APOLLON, LE FAIT QU'IL VOUS LE RENDE N'A PAS VRAIMENT D'IMPORTANCE.
METTONS QU'IL LE GARDE...
Les nombres apparaissant dans le texte de l'énigme sont les nombres de jours nécessaires à chaque planète pour effectuer sa révolution autour du soleil. Là aussi, les chiffres datent un peu et proviennent probablement de l'Encyclopédie Bordas (Astronomie) de 1968 (rééditée en 1981). Mars................687 Jupiter...........4330 Saturne........10752 Uranus.........30667 Neptune.......60140 Pluton..........90677
CENT JOURS AVANT DE SE CASSER LE BEC ET Y LAISSER SES PLUMES. Viennent immédiatement à l'esprit les Cent Jours de Napoléon qui, revenu de l'Ile d'Elbe, débarqua à Golfe-Juan. L'une des indications supplémentaires semble d'ailleurs confirmer cette hypothèse :
Mais il convient de bien saisir ce que sont les Cent Jours du point de vue historique :
Ainsi les Cent Jours ont-ils réellement débuté lorsque Napoléon est arrivé aux Tuileries, à Paris, le 20 mars 1815.
Reprenons ce que dit l'article de Wikipedia relatif aux Cent-Jours : "Le 20 mars, le général Haxo qui pense rejoindre Louis XVIII, trouve les Tuileries quasiment désertes. Lavalette à 7 heures a pris la direction de la Poste et prévient les maîtres de postes que l'Empereur sera là avant deux heures et de ne plus fournir de chevaux sans autorisation. Lavalette interrompt la publication du Moniteur universel. Aux Tuileries, le ministre des Finances a oublié 50 millions dans les coffres. Le chancelier Pasquier interroge Cambacéres. "À Fontainebleau, les troupes arrivent sans cesse. Les Elbois montés par coche d'eau arrivent par Montereau-Fault-Yonne. "À Paris, les généraux Exelmans et Sébastiani ont pris les choses en mains. Le drapeau tricolore flotte aux Tuileries à 2h 20, dôme de l'Horloge, aux Invalides à 2h 30. À 2 h 45, au lycée Louis-le-Grand, Sadi Carnot par la fenêtre voit le drapeau hissé au sommet de la colonne Vendôme. "Dans l'après-midi, à la suite d'Exelmans, les dignitaires impériaux sont réapparus, avec Hortense qui porte les habits du deuil de sa mère, l’impératrice Joséphine. Napoléon entre dans Paris."
La Cour des Adieux, à Fontainebleau
Les Armoiries de Fontainebleau
Napoléon III, par un décret du 25 juin 1864 donné au palais de Saint-Cloud, le 20 août de la même année, a concédé à la Ville de Fontainebleau les armoiries suivantes
dont elle était autorisée de faire usage telles qu’elles étaient figurées et coloriées selon la description blasonnée suivante :
Cette description minutieuse présente certains intérêts, car on y constate que les héraldistes du Second Empire ont conservé certains détails des armoiries royales,
notamment la salamandre et la « double F » qui, en faite, présente ici une forme curieuse, celle d’une croix en T.
Le trait d'Apollon, lui, s'abattra en une 46 241 860 ème fraction de jour sidéral. Or, la durée de notre jour sidéral est de
Si le trait d'Apollon est, comme on le suppose, un trait lumineux dont la vitesse
est d'environ
Or, à 559 km de Golfe-Juan (!) on retombe sur Dabo, ce qui ne déplaît pas aux "daboïstes" !
Mais revenons à la flèche d'Apollon. On peut penser que si l'on devait raisonner comme des "artilleurs",
il faudrait qu'Apollon effectue son tir à 45° de
l'horizontale afin que son projectile s'élève puis retombe
comme il se doit le plus loin possible.
D'autres préfèrent un parcours en arc de cercle (d'où le prêt d'un arc à Apollon).
Bien sûr, Max a précisé très clairement qu'aucun calcul balistique n'était à effectuer. Mais peut-on vraiment considérer les calculs décrits ci-dessus comme étant des calculs "balistiques" ? Certainement pas. Il y a un monde entre le calcul de la corde d'un arc de cercle et celui d'une parabole !
Enfin, si la mesure est bien de 33 cm et si celle-ci ne doit pas être "coefficientée",
les 1969,697 mesures donnent 650 m.
Où le "là" se situe-t-il ? Ce "là" dont il est question en début et fin d'énigme et à partir duquel Apollon décoche sa flèche se situe-t-il là où se termine l'énigme précédente c'est-à-dire où se trouve la Spirale à quatre centres ?
Il est important que ce soit Apollon qui compte 1969,697 mesure vers le zénith avant de décocher sa flèche car cela garantit la précision avec laquelle sa flèche sera déposée. Il ne tire pas de cette hauteur et l'on ne peut par d'altitude à propos de celle-ci. Que signifie donc dans ce cas "compter 1969,697 mesures vers le zénith" où ce qui est important est le fait de les compter et non la chose par rapport à laquelle on les compte ?
Puisqu'il s'agit de trouver le point de chute de la flèche qui vise quelque chose de concret, de matériel (pas le cœur), situé en hauteur, en ignorant les éventuelles montagnes situées sur son trajet rectiligne, tout en respectant les lois de la balistique, où ce point de chute se situe-t-il ?
A l'endroit où se sera abattu le trait d'Apollon et où il faudra "se hâter de la trouver", on ne découvrira qu'une flèche. La flèche est une image. Pourquoi est-il nécessaire de préciser que sa longueur est inférieure au trajet qu'elle aura effectué ? Qu'est cette flèche qui restera parfaitement horizontale si l'endroit visé est en face de soit et qui ne sera plus parfaitement horizontale si cet endroit est en hauteur ?
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